Il se calcule en faisant la différence entre les produits
encaissables et les charges décaissables relevant de l'activité
principale de l'entreprise.
Ne rentrent pas en compte, par exemple :
- Les investissements pour créer une nouvelle ligne de production (intégrés au résultat par amortissement),
- Les dépenses exceptionnelles (perte d'un procès),
- Les recettes exceptionnelles (vente d'une machine),
- Les provisions (risque lié à la garantie)
- Les remboursements de prêts et frais bancaires.
voir aussi EBITDA
Une fois les dividendes versés, le solde = autofinancement réel peut servir au remb. de la dette, aux invest, voire les besoins sur les postes de stocks, créances clients ou trésorerie. voir tableau de financement.
- Les investissements pour créer une nouvelle ligne de production (intégrés au résultat par amortissement),
- Les dépenses exceptionnelles (perte d'un procès),
- Les recettes exceptionnelles (vente d'une machine),
- Les provisions (risque lié à la garantie)
- Les remboursements de prêts et frais bancaires.
voir aussi EBITDA
. La Capacité d'autofinancement donne aussi une indication sur un flux de liquidité potentiel mais en intégrant toute l'activité de l'entreprise et pas seulement l'exploitation. On retranche les DADP mais aussi les plus ou moins value d'actifs.
Une fois les dividendes versés, le solde = autofinancement réel peut servir au remb. de la dette, aux invest, voire les besoins sur les postes de stocks, créances clients ou trésorerie. voir tableau de financement.